Dans son interview pour le journal belge L'Echo, Roland Gillet fait part de son inquiétude quant à la remontée des taux longs et la conséquence sur le financement des dettes publiques.
Il souligne l'importance de s'inscrire dans une trajectoire budgétaire plus pérenne telle que recommandée par la Commission européenne afin de contenir les risques d'une catastrophe sociale.
Privilégier des mesures qui taxent davantage l'entrepreneuriat et l'initiative privée est peu porteur: la classe moyenne est déjà largement taxée or elle constitue le moteur principal de nos économies. Il existe donc peu de marge de manoeuve à ce niveau.
Roland Gillet préfère l'idée d'une augmentation structurelle de la TVA (1%) sur les biens de luxe compensée par une baisse de celle-ci (0,5%) sur les biens de première nécessité.
Retrouvez l'interview dans son intégralité sur le site de L'Echo
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